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Maman victime de la corruption judiciaire PART1 (Maoloni)

 

Je m’appelle MAOLONI Maria-Pia,
la maman de
Fiona (10 ans)
et Milla (6 ans),
deux innocentes victimes de la perversion adulte.

Ma lutte pour la sauvegarde de mes enfants n’est pas seulement une bataille contre la pédo-criminalité organisée mais représente une guerre contre l’indifférence et l’ignorance des personnes devant le massacre de l’innocence de nos enfants.
Ce réseau pédo-criminel bien structuré n’est pas seulement composé de pervers pédophiles mais aussi de leurs complices, les pervers institutionnalisés, qui les protègent ou qui ferment les yeux devant ces crimes contre l’humanité.
Ces complices occupent très souvent des fonctions sociales légitimes dans les hautes sphères de la société et notamment au sein du système judiciaire.
.
Les objectifs de ce réseau sont
.
principalement : le pouvoir,
.
le plaisir pervers et l’argent.
.
Pour atteindre ces buts, leurs moyens sont :
l’omertà de la presse ,
la rétorsion (menaces, intimidations) pour ainsi exploiter les peurs des personnes ,
propager de fausses informations afin de discréditer et d’étouffer la vérité sur ces crimes ,
laisser les citoyens dans l’ignorance de ce monde perfide ,
et enfin, isoler les victimes et les personnes qui ont le courage de les défendre.

L’isolement de l’enfant abusé et du parent protecteur est une des finalités recherchées par les pervers institutionalisés.
.
ISOLEMENT DE L’ENFANT
.
VICTIME DU RESEAU
.
PEDO-CRIMINEL
.

En effet, le piège est de faire croire que l’on va placer l’enfant dans un cadre « neutre » pour permettre à la « justice » de prendre les décisions dans « l’intérêt supérieur » de l’enfant.
De cette façon, l’enfant se retrouve placé en institution pour une longue période et donc sous l’emprise judiciaire.
Ceci ayant pour conséquence sur l’enfant de se sentir puni d’avoir parlé des violences sexuelles qu’il a subies.
.
Donc, l’enfant qui est déjà
.
victime d’abus sexuels
.
devient victime d’abus
.
judiciaire.
.

Par conséquent, sous le poids de cette culpabilité, l’enfant éprouvera des difficultés à se confier de nouveau sur son vécu de victime.
L’enfant souffre d’un profond sentiment d’abandon face à ce lourd fardeau des traumatismes sexuels subis qu’il doit porter seul et en silence.
De plus, le sentiment de détresse chez l’enfant victime d’abus sexuels et placé en institution, est accentué par le fait qu’il se voit séparé de son milieu parental et de son parent protecteur.
.
L’article 38 du décret de l’aide
.
à la jeunesse (en Belgique)
.
est devenu un piège pour
.
les innocentes victimes
.
violentées et pour le parent
.
protecteur.
.

En effet, en délèguant leur « pouvoir de décision » au directeur du SAJ (Service d’Aide à la Jeunesse) ou au SPJ (Service de Protection Judiciaire), certains juges se déresponsabilisent face à la protection effective du mineur envers ses bourreaux sexuels.
Si le parent protecteur n’est pas d’accord avec la décision de placement du SAJ ou du SPJ, on lui dira qu’il peut faire un recours sur base de l’article 37 du décret de l’aide à la jeunesse.
Toutefois, il faut savoir que ce prétendu recours est aussi un traquenard pour les victimes puisque la plupart du temps, le parent se retrouve face au même juge de la jeunesse qui, dans la majorité des cas, confirmera la décision du directeur de l’aide à la jeunesse c’est-à-dire la décision de placement de l’enfant en institution afin de l’éloigner de son parent protecteur.
.
Donc, la boucle
.
est bouclée !
.

La tactique des pervers institutionnalisés est d’emprisonner l’enfant afin de l’éloigner du parent protecteur.
L’enfant se retrouve donc dans une institution de l’Etat, dans l’ « attente » d’une décision qui permettra de le placer chez le parent bourreau.
Le placement en institution sert de tremplin pour les institutions judiciaires afin d’avoir la main-mise sur des décisions d’éloignement rapides de l’enfant à son parent protecteur.
On vous fera croire qu’il s’agit d’une période de placement « très courte » afin de vous permettre de « prendre du recul » et de permettre à la justice « d’y voir plus clair »…
.
On vous dira également que
.
c’est « dans l’intérêt
.
supérieur de l’enfant »
.

(belle phrase utilisée à toutes les sauces pour vous faire avaler des couleuvres !).

Le premier objectif visé par l’organisation pédo-criminelle est donc atteint : isoler l’enfant victime pour ainsi l’empêcher de s’exprimer sur les crimes sexuels qu’il a subis.
Il faut préciser que malgré toutes ces pressions et ces souffrances infligées, si l’enfant a le courage de s’exprimer de nouveau sur son vécu traumatique, les pervers institutionnalisés affirmeront que l’enfant « fabule » ou qu’il a été « aliéné » par le parent protecteur et n’est donc pas « crédible ».
.
De cette façon, en évitant
.
de protéger mes enfants
.
contre les violences sexuelles
.
qu’elles subissent et en les
.
exposant au milieu paternel
.
pédophile, le système
.
institutionnel et judiciaire
.
de Mons devient complice de
.

ces crimes.
.

Mes enfants ont été réduites par celui-ci en « objets de chantage» afin que j’enlève mes plaintes pénales et que j’arrête toutes les procédures à charge
.
du père, Rocco Antonini
.
et du grand-père paternel,
.
Roberto Antonini.
.

Lorsque je vivais en Belgique avec mes deux enfants, j’ai frappé à toutes les portes des institutions belges pour réclamer de l’aide (Child Focus, Aide aux victimes, Service d’Aide à la Jeunesse, SOS enfant, associations pour l’enfance, etc).

Toutes ces institutions
.
qui soulagent la conscience
.
collective,
.
après l’affaire Dutroux en Belgique, et qui tentent de démontrer que l’enfant est actuellement protégé et bien encadré dans ce pays!!
L’étau se refermait de plus en plus autour de nous !
Mes enfants et moi-même étions en détresse et on ne nous a pas aidées, mais on nous a piégées !Mes enfants sont victimes d’un réseau de pédophiles.

Cela fait cinq ans que
.
j’attends JUSTICE !
.

J’y crois encore puisque je continue les démarches judiciaires.
Toutefois, j’espère pour mes enfants, qui sont actuellement entre les mains de ces criminels, que la justice n’est pas une utopie !
La justice devient utopie quand la vérité est freinée par la corruption.
La seule façon de veiller à la manifestation de la vérité, dans un pays démocratique, est de permettre aux citoyens de maintenir un regard critique sur le déroulement des procédures judiciaires relatives à la pédocriminalité.
Ceci à travers les canaux d’informations qui donnent accès à un large public comme internet et les médias (quand ces derniers gardent leur indépendance et qu’ils ont le courage d’affronter le problème de la pédo-criminalité !
En Belgique, dans le cadre de mon dossier, c’est l’omertà absolue !).

Malgré toutes les pressions
.
et rétorsions que les autorités
.
montoises me font subir
.
jusqu’à ce jour, je continue
.
encore à me battre pour la
.
manifestation de la vérité
.
sur les viols et la prostitution
.
de mes enfants.
.

Malgré ma profonde tristesse et le cœur arraché d’une maman, je résiste à leur chantage car arrêter les procédures signifierait abandonner mes enfants dans leur vécu de victimes violentées.
Lorsque l’on a été victime de crimes sexuels, il est fondamental pour pouvoir se reconstruire, que l’on vous reconnaisse le statut de victime.
.

Les autorités de Mons ont
.
voulu inverser les valeurs
.
en faisant croire que mes
.
enfants étaient des menteuses
.
au lieu d’être des victimes.
.

Cette attitude est un déni de justice à l’égard de mes deux filles et donc, un déni de droit !

Il ne faut pas être un grand expert judiciaire pour comprendre que, dans le cadre de mon dossier, l’interprétation de la Loi et surtout sa non application, sont réalisées par les autorités montoises dans le seul but d’enterrer la VERITE des viols sur mes enfants, au profit de la protection d’une organisation pédo-criminelle !
Nous avons tous compris que cette affaire « dépasse » largement les Antonini (père et fils) et que les décisions de la justice montoise (Belgique) sont systématiquement orientées en faveur de ceux-ci uniquement dans le but de protéger d’autres personnes complices de ces crimes infligés sur mes enfants ; cela, malgré un nombre impressionant de témoignages, de rapports médicaux et psychologiques en faveur de la crédibilité des révélations d’abus par ma fille aînée.

Fiona, était âgée de quatre ans
.
et demi lors de ses premières
.
confidences sur la violence
.
sexuelle subie par son père,
.
son grand-père paternel et
.
d’autres adultes
.
(en janvier 2004).
.

Elle a continué à parler et à dessiner l’horreur de son vécu juste avant son rapatriement en Belgique (en mai 2007).
Donc, durant trois années, ma fille a eu le courage, malgré ses trois placements en institution, de s’exprimer et d’appeler « au secours » afin que l’on puisse, nous, adultes, la délivrer de toutes ses souffrances.
Mais aucune autorité a eu, jusqu’à présent, la volonté de s’opposer à ces crimes et de protéger mes deux enfants.
POURQUOI ???
Ma privation ILLEGALE de liberté,
suite au mandat d’arrêt illégitime et lancé par le Tribunal de Mons ;
l’enlèvement ILLEGAL et la séquestration de mes enfants par les autorités belges ;
la séparation avec mes enfants et le refus ILLEGAL de tout contact entre mes petites filles, moi, leur maman et toute la branche maternelle (ceci depuis déjà DEUX ANS !) ;
l’absence totale de protection à l’égard de mes enfants contre la violence sexuelle qu’elles subissent actuellement dans le milieu paternel ;
les accusations NON FONDEES sur mon équilibre mental émises par des psychologues à deux sous (C-Bex de Mons-Charleroi : Madame Regini Laurence, Madame Fadeur Isabelle, Monsieur Baeskens-Charlier Alain, Madame Delmotte Natacha) sur base d’un rapport bidon d’une jeune éducatrice (Madame Saint Huile) ;
les faux intellectuels et calomnies rédigés à mon encontre par des personnes qui ne me connaissent pas (SPJ de Mons : Madame Anne Lethé-de Greef ; SOS Enfant de Mons : Monsieur Gallez Michel) ;
des pièces du dossier qui disparaissent ;
le chantage affectif du directeur de l’aide à la jeunesse de Mons (Monsieur Bensaïda Taoufik), le procès d’intention à mon égard ;
des témoins importants non auditionnés…

représentent une gigantesque
.
violation de la Convention
.
Internationale des Droits
.
de l’Homme et de l’Enfant,
.
par les autorités judiciaires
.
de Mons (Belge).
.

Il est grand temps que le Tribunal et les institutions de Mons cessent de tomber dans le scandale des délits commis envers deux innocentes victimes, que sont mes enfants.

A travers leurs décisions (ralentissement volontaire des procédures civiles pour empêcher tout contact entre mes enfants et moi-même ; accélération de la fermeture du dossier pénal), les autorités montoises couvrent de toute évidence les actes criminels des Antonini et deviennent donc complices de ceux-ci.

Leurs décisions ont d’ailleurs perdu toute crédibilité aux yeux des citoyens belges et internationaux ainsi que devant les autorités italiennes car elles exposent volontairement mes enfants au danger permanent de la violence sexuelle au sein du milieu paternel dans lequel elles se trouvent actuellement.
Il est donc URGENT que ces délits graves et inhumains cessent !
.

Les dysfonctionnements
.
visibles et bien réels qui
.
apparaissent dans mon
.
dossier sont la preuve évidente
.
d’une volonté de nuire à la
.
manifestation de la vérité
.
relative aux viols commis
.
sur mes enfants par les
.
Antonini et leurs complices.
.

ISOLEMENT DU PARENT PROTECTEUR
Le parent protecteur, se fiant à la justice de son pays et aux institutions d’aide pour l’enfance, va avoir le réflexe, comme n’importe quel autre parent se retrouvant dans cette même situation, de s’adresser à celles-ci afin de leur confier les révélations d’abus de son enfant et espérer la mise en place urgente des mesures d’aide pour celui-ci.
Hélas, le parent protecteur va vite se rendre compte de sa grande solitude face à l’aide qu’il souhaite apporter à son enfant, surtout lorsqu’il comprendra que les pervers institutionnalisés souhaitent le séparer de celui-ci et l’incriminer d’une « pseudo-dangérosité » afin de le discréditer et d’étouffer la vérité des actes criminels commis sur son enfant par les membres du réseau pédophile.
Comment isoler le parent protecteur c’est-à-dire celui qui souhaite protéger son enfant de la violence sexuelle qu’il a subie ?
Les objectifs visés par les pervers institutionnalisés sont identiques à ceux visés pour isoler l’enfant victime d’abus sexuels, à savoir : Isolement psychologique et ainsi, rendre le parent protecteur non crédible en l’étiquetant d’ « aliénant » pour son enfant, c’est-à-dire atteint du « syndrome d’aliénation parentale ».
Le SAP a été défini en 1986 par Richard Gardner, professeur de pédopsychiatrie à l’université de Columbia.
Selon lui, il s’agit d’un désordre psychologique qui atteindrait l’enfant lorsque l’un des parents effectue sur lui, de manière implicite, un « lavage de cerveau » visant à détruire l’image de l’autre parent.
Lorsque l’opération réussit, l’enfant rejette ou diabolise ce parent qu’il aimait auparavant, et fait indissolublement corps avec le parent aliénant, conformément au désir de celui-ci.
Cette théorie est dangereuse non pas dans son fondement mais dans l’utilisation qu’en font les pervers institutionnalisés afin de procéder à l’éloignement du parent protecteur de son enfant.

En effet, cette théorie est souvent utilisée dans les procédures judiciaires comme stratégie pour discréditer le parent protecteur et, de cette façon, rendre peu crédible les révélations d’abus de son enfant.
Les pervers institutionnalisés diront que le parent protecteur a une « relation fusionnelle » avec son enfant, qu’il est « aliénant » pour lui et donc « dangereux ».
De cette façon, on procèdera au placement de l’enfant en institution afin de l’éloigner du parent protecteur.
Cette théorie sera utilisée dans les cas ou’ il n’y a pas de signes physiques d’abus sur l’enfant.
.

En revanche, dans les cas
.
d’enfants victimes d’abus
.
sexuels ou’ il y a des signes
.
physiques de ces abus
.
(fissures anales, vulvites et
.
vaginites, lésions de
.
l’hymen), les pervers
.
institutionnalisés diront que
.
le parent protecteur est atteint
.
d’une maladie psychiatrique :
.
« le syndrome de Münchausen
.
par procuration ».
.

Ce syndrome décrit un trouble du comportement d’un adulte envers un enfant : la maltraitance de l’adulte sur l’enfant qui consiste en la production volontaire de symptômes physiques ou psychiques.

De cette façon, en taxant le parent protecteur d’ «aliénant » ou de « malade dangereux », il sera plus aisé, pour les pervers institutionnalisés, de le séparer de son enfant.
L’abus de ces deux théories dans les procédures judiciaires ajoutera un autre traumatisme à l’enfant puisqu’il n’est pas cru dans son dramatique récit et est donc totalement nié dans sa souffrance et la violence qu’il a subies.

Isolement physique et/ou géographique: cette seconde étape est consécutive à la première (isolement psychologique).

Dans ce cas, le parent protecteur, nommé « dangereux » par les pervers institutionnalisés sera isolé dans un centre psychiatrique ou un établissement carcéral .
Isolement social et professionnel: cette troisième étape est consécutive aux deux précédentes (isolement psychologique et physique et/ou géographique).
Le but recherché des pervers institutionnalisés est d’isoler le parent protecteur de son tissu social et familial de référence : détériorer son identité psychologique, sociale et professionnelle.

Les frais de procédures et le harcèlement juridico-institutionnel envers le parent protecteur augmenteront sa détresse psychologique et économique.

Le budget des frais de
.
procédures judiciaires
.
est un autre moyen utilisé
.
par les pervers
.
institutionnalisés pour étouffer

la manifestation de la vérité
.
des crimes infligés sur
.
l’enfant victime, en freinant
.
le parent protecteur dans

la continuation de ses
.
actions judiciaires.
.

Tout ceci est le reflet de notre drame vécu durant cinq années pour tenter de sauvegarder mes deux enfants de l’enfer de la pédo-criminalité.
Je tiens à préciser que mon vécu m’appartient et je ne peux donc le transposer à d’autres situations.
Je ne souhaite donc pas généraliser mon histoire, qui s’est orientée vers la protection criminelle par les pervers institutionnalisés, au lieu de la protection de mes deux enfants.


Cela serait excessif de ma
.
part d’affirmer que toutes les
.
personnes fonctionnant au
.
sein du Tribunal et des
.
institutions de Mons
.
(Belgique) sont corrompues
.
ou n’assument pas pleinement
.
leurs responsabilités.
.

Les pervers institutionnalisés qui ont eu un rôle dans la non protection de mes enfants se reconnaîtront et devront, un jour, purger leur conscience, en espérant qu’ils en aient une !

L’aide tant recherchée pour mes enfants et que je n’ai pas trouvée en Belgique, m’a contrainte à venir en Italie dans le but que justice soit faite et

qu’enfin, mes enfants soient
.
reconnues victimes d’abus
.
sexuels par leur père
.
(Antonini Rocco),
.
leur grand-père paternel
.
(Antonini Roberto)
.
et d’autres adultes (le père
.
et le grand-père
.
accompagnaient
.
ma fille aînée, Fiona, dans des
.
lieux où étaient présents
.
d’autres adultes qui abusaient
.
d’elle et d’autres enfants
.
présents).
.

Suite au mandat d’arrêt pour enlèvement d’enfants émis par la juge Véronique Laloux du Tribunal de Mons (Belgique), j’ai été arrêtée en Italie.

Je suis restée quatre jours en prison et seize jours d’arrêt à domicile.

Ensuite, j’ai été jugée par la Cour d’appel de Ancona (Italie) et libérée sans condition.

Au moment de mon arrestation, mes enfants ont été arrachées à moi et placées dans une institution italienne durant sept mois.

Je n’ai pu obtenir des droits de visite que deux mois après l’enfermement de mes enfants, à raison de quatre heures par mois.

Mes enfants étaient en détresse et se sentaient perdues dans un contexte étranger puisqu’elles ne comprenaient pas la langue italienne (leur langue maternelle étant le français) et qu’elles étaient coupées de leur famille et de tous leurs repères familiers.
.
Malgré les pressions des
.
autorités belges pour rapatrier
.
mes enfants, la Cour d’appel
.
de Ancona (Italie) a révoqué
.
le rapatriement de celles-ci
.
en Belgique, en tenant compte
.
du danger que mes deux
.
filles encouraient en
.
retournant chez leur père.
.

Il n’existe aucune place aux mots pour exprimer l’entière souffrance de mes enfants, de ma famille entière et de moi-même.

Il s’agit d’ une agonie lente et douloureuse que l’on vit au quotidien ; ceci face à l’impuissance des gens qui nous sont proches et qui nous soutiennent mais également face à la lâcheté et au désintérêt absolu des autorités et des institutions qui pourraient prendre des décisions pour la sauvegarde de mes enfants, et qui ne le font pas !

.
Le 17 mai 2007, le Tribunal de
.
la jeunesse de Ancona
.

(Italie), alors qu’il n’était pas
.
compétent, a émis une
.
décision de rapatriement de
.
mes enfants, en Belgique.
.
Cette décision a donc
.
chevauché ILLEGALEMENT
.
celle de la Cour d’appel de
.
Ancona (qui avait
.
précédemment révoqué le
.
rapatriement).
.

Le 19 mai 2007, dans le secret le plus strict et sans que je sois avertie, mes enfants ont été enlevées, lors d’une promenade avec d’autres enfants de l’institution, et rapatriées en Belgique chez leur père bourreau.
.
En mai 2008, la Cour Suprême
.
de Cassation à Rome a cassé
.
la décision émise par le
.
Tribunal de la jeunesse de
.
Ancona, en reconnaissant son
.
incompétence et en
.
affirmant le maintien de mes
.
enfants sur le territoire
.
italien.
.
Mais trop tard !
.
Mes enfants sont actuellement en Belgique !
Depuis deux ans, je suis sans nouvelle de mes enfants.
Le père et les pervers institutionnalisés de Mons (Belgique) s’opposant catégoriquement à tout contact entre mes enfants et moi-même (même par téléphone !), ceci en faisant une absolue abstraction de l’intérêt de mes enfants et en niant totalement les lois internationales sur les Droits de l’Enfant et de l’Homme.
Malgré les diverses requêtes que mes parents et moi-même avons déposées afin d’obtenir ces contacts, les autorités de Mons (Belgique) restent hermétiques et prennent diverses excuses afin d’éloigner ces contacts : ralentissement des procédures civiles, renvoi des audiences au rôle, fixation des audiences dans des délais extrêmement longs (9 mois à un an entre deux audiences), etc.

Le maintien de cette négation de contacts avec mes enfants sert, pour les pervers institutionnalisés, de chantage affectif afin que j’arrête la procédure pénale et que j’enlève les accusations de viols sur mineurs à charge du père, du grand-père paternel et « X ».

En effet, le 21 décembre 2007, le directeur du Service de Protection Judiciaire et de l’Aide à la Jeunesse de Mons, Monsieur BENSAIDA Taoufik, me convoque pour un entretien prévu le 20 décembre 2007 en Belgique.
Ne pouvant m'y rendre (car je suis bloquée en Italie suite au mandat d'arrêt européen lancé par mon ex-mari Rocco ANTONINI contre moi pour enlèvement d'enfants; alors que ce même mandat a été révoqué en Italie!), ce sont les avocats des deux parties et le père, Rocco ANTONINI qui y sont présents. Monsieur Taoufik BENSAIDA, déclare durant cet entretien qu'un contact téléphonique sera autorisé entre mes deux filles et moi-même, le 21 décembre 2007 à 17h.
Un simple coup de fil qui représentait, pour moi, un soulagement et un espoir énorme puisque je suis sans nouvelle de mes deux enfants depuis le jour de leur rapatriement en Belgique, c’est-à-dire depuis le 19 mai 2007.
Cela faisait donc SEPT MOIS que j’étais sans nouvelle de mes deux enfants !
Tout contact même téléphonique ayant été refusé par le père et ses avocats,
Maître BARTHELEMY Jean-Emmanuel et
Maître DEPETRIS Nathalie,
avocats au Barreau de Mons.

Le lendemain, au lieu d'avoir
.
comme convenu mes filles au
.
bout du fil, c’est Monsieur
.
BENSAIDA qui était au
.
téléphone et qui m’expliquait
.
que je devais cesser
.
la "guerre",
.
« changer de position »,
.
« ne plus faire de bruit
.
autour de cette histoire »…. si
.
j’espèrais revoir mes filles.
.
Monsieur BENSAIDA m’a
.
suggéré de retirer mes
.
accusations de
.
pédophilie à charge du père
.
et du grand père paternel.
.

Récemment encore, à l’audience du 22 avril 2009, le juge de la Cour d’appel de Mons (Belgique) avait décidé de renvoyer l’audience au 13 mai 2009 afin d’envisager des modalités de contacts par web-cam, entre mes enfants et moi-même.

Il faut préciser que les autorités de Mons se sont précipitées dans l’accélération d’un non-lieu du dossier pénal pour viols sur mineurs à charge des Antonini (père et fils).

En effet, quatre jours avant
.
l’audience préliminaire pour
.
le renvoi en justice de Roberto
.
Antonini au Tribunal de Fermo
.
(Italie), le Tribunal de Mons
.
avait décidé d’un non-lieu pour
.
le dossier d’instruction basé
.
sur les mêmes faits
.
(viols sur mineurs).
.

Ceci dans le seul but de démontrer aux autorités italiennes, et de cette façon en voulant les influencer, que le dossier pénal belge s’était cloturé par un non-lieu et qu’il n’y avait donc, selon le Tribunal de Mons, aucune charge d’inculpation pour les Antonini.
.
Malgré cela, le Tribunal de
.
Fermo (Italie) a maintenu
.
le renvoi en justice du grand-
.
père et a fixé le procès pénal
.
pour les mêmes faits de viols
.
sur mineurs à charge de
.
Roberto Antonini, au 08 juillet
.
2009.
.

Contre cette décision de non-lieu relative au dossier pénal belge, j’ai déposé un pourvoi en Cassation le 05 mai 2009.
Suite à cela, le père et son avocat, Maître Barthélémy Jean-Emmanuel (du barreau de Mons) en ont profité pour écrire au Président de la Cour d’appel de Mons, afin d’exprimer leur opposition ferme quant à l’établissement des contacts entre la maman et les enfants (voir lettre de Maître Barthélémy datée du 11 mai 2009).

Maître Barthélémy explique, dans sa lettre, ce refus de contact, de cette façon :
« …il n’est pas possible pour mon client d’envisager un quelconque accord puisque nous venons d’apprendre que Mme Maoloni a formé un pourvoi en cassation à l’encontre de l’arrêt prononcé par la Chambre des Mises en Accusation de la Cour d’appel de Mons en date du 21 avril dernier, confirmant un non-lieu au bénéfice de mon client dans le cadre de l’instance pénale. …. Quant à la procédure pénale en Italie, je n’ai à ce jour aucune information à propos des intentiions de Mme Maoloni quant à la poursuite de la procédure pénale à charge de mon client en Italie. Je suppose, compte tenu du recours introduit en Belgique, que la procédure sera poursuivie en Italie à l’égard de mon client. Vous comprendrez, dans ce contexte, que mon client émette les plus nettes réserves à l’égard de l’attitude de la partie appelante et ne puisse raisonnablement être rassuré quant aux intentions de Mme Maoloni qui persiste à le présenter comme « pédophile en puissance ». Aucun accord ne pourra être acté à l’audience du 13 mai prochain… »

Dans le procès verbal de l’audience du 22 avril 2009 (voir annexe), le Président de la Cour d’appel de Mons, Monsieur Wustefeld Pierre-André stipulait : « …les parties conviennent d’envisager provisionnellement un dispositif susceptible de permettre, dans le respect de l’intérêt des enfants et de chacune des parties, d’entamer une reconstruction du lien entre les enfants et Maria-Pia Maoloni. A cet effet, pour permettre aux parties de proposer à la cour un dispositif concret, et de l’avis favorable du Ministère Public, la cour met la cause en continuation à l’audience du mercredi 13 mai 2009 à 17H40 pour 20’ ».
Bizarrement, à l’audience du 13 mai 2009, ce même juge adopta une attitude totalement différente et décida de renvoyer les débats en novembre 2009 (donc, six mois plus tard !).

Que s’est-il passé entre l’audience du 22 avril et celle du 13 mai ?
La réponse est le pourvoi en Cassation que j’ai déposé le 05 mai 2009,contre la décision de non-lieu relative au dossier pénal pour viols sur mineurs.
En effet, à travers cette action, je maintiens ouverte la procédure pénale en Belgique.
Dans ce contexte, il est aisé de comprendre que l’intérêt de mes enfants et leur bien-être sont complètement bafoués par les pervers institutionnalisés de Mons.
Leur objectif étant de clôturer au plus vite ce dossier pénal belge qui semble déranger la tranquilité de ces derniers.
Ils se servent de mes enfants comme objets de chantage affectif afin que je me soumette à leur dictat qui se trouve partout en filigrane dans mon dossier : « tant que vous continuez votre bataille, vous ne reverrez pas vos enfants ! »

Les pervers institutionnalisés de Mons utilisent mes enfants comme moyens de rétorsion afin que j’enlève mes plaintes de viols sur mineurs et de cette façon, qu’ils puissent définitivement mettre un couvercle sur cette marmitte bouillante qui dérange tant la sérénité perverse de ce réseau pédo-criminel.

L’amour incomensurable que j’éprouve pour mes deux enfants et la foi me guident dans cette bataille infernale et m’aident à garder espoir en une justice propre et indépendante ou’ « la loi est égale pour tous » et ou’ les jeunes victimes, en l’occurrence mes deux filles, sont reconnues dans leur statut de victime afin qu’elles puissent enfin se reconstruire dans ce monde d’adultes qui leur a laissé des cicatrices douleureuses et indélébiles.

J’espère que cette justice n’est pas seulement une illusion !

La justice est humaine et donc comporte ses propres limites : celles de la connaissance théorique, celles de la connaissance exacte des faits, celle de ses propres choix individuels afin de pouvoir rester intègre malgré les pressions subies…

Ce sera notre persévérance et notre intolérance contre la pédophilie qui sauveront tous les enfants qui ont besoin de nous pour vivre avec dignité dans ce monde. La pédophilie est un cancer social car au-delà de la perversion individuelle, nous devons combattre les personnes et parfois même les institutions entières qui, derrière leur fonction sociale légitime et respectée, protègent et donc cautionnent la pédophilie sous toutes ses formes.

MAOLONI Maria-Pia " Sauver un enfant, c’est sauver l’humanité entière "

http://sauvons-fiona-et-milla.blogspot.com/2008/03/comment-tuer-une-personne-sans-avoir.html


ORGANISATION PEDO-CRIMINELLE :
QUAND LA DEMOCRATIE PREND LES COULEURS DE LA DICTATURE.

Je m’appelle MAOLONI Maria-Pia, la maman de

Fiona (10 ans)

et Milla (6 ans), deux innocentes victimes de la perversion adulte.




trouvé chez:

http://ponsonjeanclaude.blogspot.com/

 

L'affaire Maolini: Archive vidéo de rappel

L'affaire Maolini: Archive de rappel (pédocriminalité de réseau) 

 

Maman victime de la corruption judiciaire PART2 (Thizy - Grayel)

Véronique ne voit plus ses trois enfants depuis 8 longues années.

Quand la justice lui a ordonné de rendre les enfants à leur père, Emmanuel GRAYEL, le 5 mars 2004, après 1 an de lutte acharnée, elle a cru qu'elle allait mourir de chagrin.
L'avocat de Emmanuel GRAYEL est : 


L'affaire se situe près de Saint-Étienne dans la Loire.

Véronique et ses enfants sont victimes d'un complot formaté par de hauts grades francs maçons, et ce depuis  le 11 Mars 2003.

L'origine de l'affaire :   une plainte contre son ex mari pour le viol de leur fille Lxxxx âgée alors de 2 ans.

Comble de l'horreur  : Nxxxxxx son deuxième fils âgé de 6 ans  confie qu'il ne doit rien dire sinon les gendarmes mettraient son père en prison.
Véronique s’inquiétait depuis longtemps pour lui : refermé sur lui-même, trouble du langage ...L'année de ses 4 ans, elle l'emmène chez une orthophoniste à trois reprises, mais il n'a pas desserré pas les dents.

C'est   JOHAN FOURNEL - DOCTEUR À LA TOUR-EN-JAREZ (42580)
qui à l'époque est chargé de l'expertise de la petite Lxxxx
Pas besoin d'être un expert pour voir et écouter l'enfant dire : " papa pique plus les fesses parce-que maman est en colère"!!!!
Une fois l'expertise terminée, l'horreur devrait être terminée pour envisager la reconstruction ....
Pas du tout!
Le procureur AIMO est particulièrement pressé de classer l'affaire : 15 jours lui suffiront !!!!!!!
L'ex-mari ironise et se vante  : " Je suis couvert".
Véronique demande alors une expertise de tous en demandant le divorce pour faute.
Maître DIMIER JEAN-YVES AVOCAT avocat à St Etienne abandonne lâchement sa cliente.
Véronique est alors orientée par l'association " Enfance et partage" vers Maître SARAFIAN HELENE avocat à Saint Etienne qui affirme dès la deuxième rencontre que le tribunal de Montbrison est débordé par les affaires financières ....!!!

Expertise est faite par le Docteur MAGDALENA GAGET - Médecin - Psychiatre par ordonnance du 3 juin 2003.

Les enfants sont confiés à la mère avec droit de visite du père un weekend sur deux.

En novembre 2003,  Lxxxx rentre de chez son père Emmanuel GRAYEL et  dit :
" Papa lèche mon zizi avec sa langue" .

Véronique refuse de  redonner les enfants à  Emmanuel GRAYEL, le père, les weekends qui ont suivi.
Une autre plainte est déposée, avec un signalement du Docteur François ABRIAL  - Médecin généraliste 
Ce médecin va d'ailleurs avoir peur de trop bien comprendre la situation.

Véronique est convoquée chez L'expert le  Docteur FRANÇOIS RUSSEL psychiatre  4 mois après la plainte......... pour expertiser Lxxxx : durée de l'expertise 10 minutes.
Le rapport d'expertise indique que Véronique délire et qu'elle remet en cause l'expertise du Docteur JOHAN FOURNEL   et les magistrats dans cette affaire.

L'affaire est classée .
Le 5 Mars 2004, leur père, Emmanuel GRAYEL, vient les récupérer les trois enfants, avec sa sœur Édith GRAYEL.

Un ancien conseiller général , Maurice DESFARGES  qui a croisé Véronique à la gendarmerie de Chazelles sur Lyon le jour où elle a déposé plainte, fait mine de ne pas la reconnaître alors qu'ils étaient ensemble à une réunion à l'Office du Tourisme de Chazelles sur Lyon quelques semaines plus tôt.
Il propose à Véronique de rencontrer ses enfants en milieu médiatisé 8 mois après la séparation du couple : Refus de la maman incapable de supporter encore leur départ....Mais aussi faible et épuisée.

Véronique exerce son recours devant la Cour d'Appel de Lyon en demandant une contre-expertise.
Le jugement du 13 mars 2006 dit maintenir la résidence des enfants chez leur père.

L'expert, le Docteur  Jean-Bernard  LEMMEL  Pédopsychiatre exerçant à Saint Cyr au Mont d'Or dit : "cette femme présente incontestablement un caractère dangereux, à la fois pour elle-même et pour les autres. Nous demandons son hospitalisation à la demande d'un tiers, en milieu psychiatrique".

Véronique a consulté le psychiatre Docteur GILLES DAMAS FROISSART,  pendant 9 mois pour rien puisqu'il n'a pas voulu écrire un bilan de santé à son sujet.
Il travaille au CMPP de Saint-Etienne auprès des élèves en difficulté.

Le cauchemar continu, mais en attendant, la maman est enseignante en SEGPA, et verse 489 euros de pension alimentaire.
Ses rapports d'inspection sont très bons.

Pour la deuxième fois à la Cour d'Appel de Lyon, le 4 décembre2007 avec Mtre André Buffard
 avocat à Saint-Etienne.
Rien n'y fera  : Véronique doit se faire interner !!!!!!

Véronique demande alors une expertise psychiatrique de tous et voilà que la psychiatre déclare que c'est la maman qui est dangereuse pour ses enfants !

La garde est donnée au père et la maman est déclarée malade: " elle souffre de psychose délirante à thématique sexuelle " sur déclaration du  Docteur  Jean-Bernard  LEMMEL  Pédopsychiatre !!!".


4 avocats, 3 appels de décisions et .... le calvaire!!! 

Début septembre 2008, le Docteur  JOHAN FOURNEL, le "spécialiste reconnu" par les juges, et expert judiciaire, est arrêté en force, menotté,  pour détention de cassettes pédopornographiques !!
Rien dans la presse.
Les journalistes sont donc :  ou complices ou menacés.
Pire, l'avocat, complice ou menacé, lui aussi déclare à Véronique qu'il ne peut plus assurer sa défense.
Raison invoquée : il s'occupe du pédo criminel, à savoir le docteur JOHAN FOURNEL.
Véronique prend un autre avocat Maître Robert GALLETTI qui a compris, en  6 mois que cette affaire sent particulièrement mauvais !!!!!
Et d'ailleurs,  Maître Robert GALLETTI  a ordre de ne pas parler du docteur JOHAN FOURNEL dont la partie adverse a utilisé son rapport pour justifier la "maladie" de la maman.
Rapport que le juge s'est empressé d'enregistrer sur l'insistance de


Maître BLAZY VERONIQUE avocat de Emmanuel GRAYEL


Et comme Véronique "refuse de se soigner" les magistrats lui refusent jusqu'aux visites médiatisées.
Par contre, le juge décide d'une augmentation "sensible"de la pension alimentaire qui passe de 480 euros à 600 euros.
Véronique est enseignante, mais l'association de malfaiteurs n'arrive pas à toucher à son travail.
En effet, les rapports de l''inspection sont très honorables.
La famille de Véronique, y compris sa mère, se range du côté du pédo criminel, par intérêt, par lâcheté ??


Les magistrats impliqués dans cette affaire:

 - 3 juin 2003 JAF Saint-Etienne :   
                  Marie Pierre Millerioux , épouse Guigue,


     ( devenue juge des TUTELLES, puis Conseiller à la Cour d'Appel de LYON en 2006)
    GAGET Magdalena expertise psychiatrique qui est la femme de Mr GAGET Président du tribunal
    de  Saint-Etienne.

- 2 mars 2004 : Geneviève HELFRE  Juge de la mise en état de Saint-Etienne

-  2004,             Mireille CHANFRAU  Juge des enfants :
                         (2005  vice Présidente TGI Clermont)

- 2005               Michel BUSSIERE Président de la 2ème chambre civile section B de la Cour
     d'Appel   de Lyon
      Maître Élisabeth LIGIER DE MAUROY  avoué
     Maître André BARRIQUAND avoué
     Pour la contre-expertise :  Docteur  Jean-Bernard  LEMMEL  Pédopsychiatre chef de service  à
     Saint Cyr Mont d'Or, qui dit je cite : " souffre de psychose délirantes à thématique sexuelles.
     L'internement est la seule manière de soigner Véronique".
     L'avocat est Maître André BUFFARD
- 3 mars 2006 :   Michel BUSSIERE Président, 
                  Catherine FARINELLI conseillère, 
                  Hélène HOMS conseillère ,

- 27 juin 2006  :  Claire TRIQUIGNEAUX-MAUGARS,  JAF  TGI  Saint  
      Etienne 

- 4 décembre 2007 : Lyon deuxième chambre civile de Lyon

                          Maryvonne DUBLIN présidente, 
                 Marie LACROIX  conseillère, 
                 Michèle RAGUIN-  GOUVERNEUR  conseillère

- 25 novembre 2010   
                 Corinne GILIS     JAF TGI Saint Etienne  qui décide 
         que même dans un endroit sécurisé, la mère ne pourra pas voir ses enfants !!!  
     Maître Robert GALLETTI
     Docteur OLIVIER  DREVON psychiatre vu pendant 9 mois : qui   explique : " ... doit comprendre   
       qu'elle ne doit plus mêler ses enfants à ses problèmes conjugaux ...!!!!"


Experts impliqués dans cette affaire :


Docteur DIDIER NORE, Roanne, 42300 Clinique Brossolette


Professeur MAURICE BERGER   PEDOPSYCHIATRE A Saint Etienne

 Il a écouté Laura, mais n'a pas voulu l'entendre!!!! Curieux quand on connaît sa position en conférence !!!

Docteur FRANÇOIS RUSSEL psychiatre

nommé comme expert .........4 mois après les faits !!!!!!!!!!


Docteur OLIVIER  DREVON psychiatre  le dernier qui a suivi  Véronique et qui à écrit 3 phrases assassines !!!!  

 
 
Rapport d'un colloque sur " La violence et la médecine légale".
On y retrouve les noms de nos illustres personnages de Saint-Etienne.



PASCAL CLÉMENT  député godillot de la Loire, ex garde des sots et conspirateur avéré.


Docteur GILLES DAMAS FROISSART intervenant avec le docteur   JOHAN FOURNEL...... sur l'inceste !!!! et les abus sexuels !!!!!!!


Professeur MICHEL DEBOUT psychiatre, professeur de médecine légale au CHU de Saint- Étienne qui avait été conseillé à Véronique pour obtenir de 

l'aide !!!!!!


MICHEL GAGET président du tribunal de grande instance de Saint-Étienne

mari du  


Docteur MAGDALENA GAGET - Médecin - Psychiatrie -CTRE HOSPITALIER LE VINATIER 95 BOULEVARD PINEL 69500 BRON


qui a fait le premier rapport psychiatrique où elle dit que la maman est dangereuse et qu'il vaudrait mieux donner la garde au père !!!!!!!!!

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Maman victime de la corruption judiciaire PART3 (Poupard)

 

2010 Affaire Patricia Poupard

Par denidejustice

A l’origine, un petit garçon avait expliqué à deux médecins que chez son père, une personne lui « avait mis un doigt dans le cucu et fait plein de bisous sur la bouche ».

Le procureur Bertossa (Suisse) et la juge Ringot (France) présumaient qu’il figurait sur le fichier Zandwoort, longue liste d’enfants victimes de la pornographie et autres tortures, mais personne ne sait pourquoi, l’enquête fut l’objet de sérieux dérapages dès qu’apparut un magistrat déculotté parmi les photos des crimes. La France classera le dossier Zandwoort « secret-défense » : quel rapport avec un magistrat déculotté ( en train d’abuser d’un enfantde 11 ans selon une source sûre) ?

La juge Isabelle LOUMAIGNE-BREHAT confia alors la garde de l’enfant au père, évacuant le fait que c’était celui-ci qui avait quitté le domicile conjugal pour une autre femme, ceci après avoir prononcé le divorce aux torts de l’épouse.

En 2001 les juges Franck LAFOSSAS et Philippe GUENARD confirmaient répétitivement en appel les décisions de la juge dans l’intérêt supérieur de l’enfant ajoutant : « que le changement de résidence se fera, au besoin, avec l’assistance de la force publique ».

Entre temps le tribunal de Bordeaux avait désigné Claude Amirault, expert clinicien, qui expliqua:  » Les jeux provocateurs a thématique sexuelle chez les enfants de 3 à 5 ans (filles ou garçons), sont monnaie courante en ce qui constitue même le mode d’expression privilégié pour l’accession de tout sujet à son identité sexuelle. »

Poussée par la peur, la maman Patricia Poupard décide de se réfugier en Suisse avec son fils  où elle est invitée à demander l’asile politique. Le Dr. Jean-Pierre Caretti du Centre d’accueil des Cernets-Verrières demande aux laboratoires Brunnhof une analyse qui fera apparaître que ce jeune garçon de 7 ans est atteint de chlamidya. Il s’agit d’une maladie vénérienne des plus contagieuses qui se transmet uniquement par rapport sexuel non protégé. Elle peut passer longtemps inaperçue puis se propager brutalement de manière ravageuse.

En 2004 le juge Jean-Pierre BRUN, « expert en blanchiment d’argent, criminalité organisée et autres affaires difficiles » est dépêché à Bordeaux. Il lance aussitôt un mandat d’arrêt international à l’encontre de Patricia Poupard pour enlèvement parental. Elle fut arrêtée le 1er avril 2004 et incarcérée. L’analyse de laboratoire concernant l’enfant fut alors confisquée. Le juge excédé par les objections justifiées de Patricia perdra son sang-froid s’adressant à elle en hurlant.

Patricia Poupard sera alors jugée à huis clos et menottes aux poignets et sans la défense d’un avocat par la juge Thérèse PERET. Elle ne toléra pas que l’accusée demande la récusation du procureur Marc FRITSCH pour avoir fait une grève de la faim préalablement à sa fuite vers la Suisse. Enfin elle justifia la mise en détention de Patricia par le fait qu’elle risquait cinq ans de prison alors que le code pénal n’en prévoit que deux au maximum.

Le jour du jugement les menottes furent enlevées à Patricia (presse oblige). Le procureur FRITSCH réclamera un an de détention dont une partie ferme pour couvrir la détention préventive, assortie d’une mise à l’épreuve, pour « avoir décidé de faire obstacle aux relations naturelles qu’un fils doit avoir avec son père. » Patricia Poupard osa mentionner le rapport de l’ONU qui dénonçait le sabotage par la France de l’enquête sur le fichier Zandwoort. « Cela devient indécent » coupa le président qui la condamna au-delà des réquisitions à 18 mois dont 9 avec sursis, une mise à l’épreuve de 3 ans avec  obligation de soins psychiatriques, interdiction de quitter le territoire et interdiction de voir son fils seule.

Patricia Poupard sera maintenue dix mois et demi en détention préventive alors que la loi limite cette détention à quatre mois. Les conditions de détention furent d’une telle violence qu’il en résultera un handicap de 50%. La juge LOUMAIGNE-BRUHAT en profitera pour lui enlever l’autorité parentale, avec pour seul motif que « le père puisse prendre les décisions nécessaires à l’éducation de l’enfant sans risque d’entrave ».

Patricia Poupard ne pourra récupérer l’analyse du laboratoire Brunnhof qu’en 2006 après avoir porté plainte contre la prison. Depuis elle demande un jugement motivé sur l’intérêt supérieur d’un enfant porteur d’une maladie vénérienne à l’âge de sept ans à être confié à l’autorité parentale exclusive du père. Les magistrats LOUMAIGNE ET GUENARD furent à nouveau chargés de s’y opposer comme ils le font depuis dix ans. Sachant que Patricia ne survit qu’avec le minimum vital alloué à toute personne handicapée, le juge GUENARD contribuera même à un jugement qui la condamne à être privée d’assistance judiciaire pour « procédures abusives ».

Patricia ayant décidé d’exposer ses difficultés sur internet, le père introduit alors un plainte avec constitution de partie civile pour « atteinte à l’intimité de sa vie privée ».

S’appuyant sur l’attitude des magistrats Bertossa et Ringot  Patricia a de bonnes raisons de penser que son fils est dans le fichier Zandwoort et qu’elle détient là tous les justificatifs pour se constituer partie civile dans le dossier Zandwoort.

Le juge Christian RISS balaiera toutes les demandes de Patricia de même que la maladie vénérienne de son fils et décidera, au nom du Peuple français : « Le préjudice moral subi par l’intéressé (le père) n’étant pas sérieusement contestable, il peut lui être alloué à titre provisionnel un montant de 1000 €. La défenderesse ne peut qu’être déboutée de l’intégralité de sa demande reconventionnelle. » Autrement dit, au nom du Peuple français, la révélation de la maladie vénérienne d’un enfant est une atteinte à l’intimité de la vie privée du père. Ainsi en aura décidé un premier président de cour d’appel (Bordeaux) !!!

En conclusion, ce Christian RISS, premier président de la cour d’appel de Bordeaux : 1) – lui refuse le droit à être jugée dans le dossier Zandwoort pour une quelconque question touchant à sa constitution de partie civile et par extension aux atteintes sexuelles dont son fils a été l’objet, ceci en l’absence du dossier complet, 2) – la déboute de l’aide juridictionnelle totale, de la désignation d’un avocat et des devoirs d’enquête que lui assure pourtant la législation européenne.

Et pour couronner le tout, les plus hautes instances judiciaires françaises n’hésitent pas à afficher le fait qu’un même magistrat, Philippe GUENARD, puisse débouter répétitivement les mêmes personnes qui exposent des faits de pédophilie.

 

http://denidejustice.wordpress.com/

Le Site de Mme Poupard:

http://pedopitchoun2.blogspace.fr/r42298/NOTRE-HISTOIRE-MON-COMBAT/

 

 

Maman victime de la corruption judiciaire PART4 ("Amidlisa")

Dans l'affaire de viols sur 3 petits enfants qui ont été enlevés à une maman PARFAITE, affaire détaillée par
l'admirable gendarme Amidlisa, la pédophilie continue à gagner du terrain.

La maman parfaite ne peut plus voir ses enfants car le père en a décidé ainsi, contre les décisions du Juge des
enfants. Une citation directe du père pour 15 non-présentations d'enfants, citation reportée 4 fois depuis
septembre 2010 pour cause de défauts de papiers, vient d'être reportée aujourd'hui 5 janvier 2011 à la
demande INJUSTIFIEE de l'avocate du Père, avec l'assentiment du procureur en ces termes « Connaissant
bien l'affaire, je ne m'oppose pas au report de l'affaire » !!? L'avocate de la maman n'a pas pu se faire
entendre du juge. C'était « plié »: l'affaire est reportée au 2 mars prochain.

En attendant, le père peut ainsi toujours s'opposer aux décisions de Justice. Depuis plus de 2 mois, la Maman
PARFAITE n'a pas pu recevoir ses enfants les 1er 3ème et 5ème vendredi du mois comme prévu par jugement,
pour le week-end, à la sortie d'école des Vendredis soirs décidés par la Justice. Elle n'a pas pu les voir ni les
entendre, ni pour Noël ni pour le 1er de l'an. Elle ne peut même pas savoir où ils sont ! IGNOBLE !
INFAME !

Son petit dernier, qui avait 3 ans quand les viols ont commencé quand il a été enlevé à sa maman avec la
complicité de gendarmes, espérait..., rêvait d'être avec sa maman pour Noël ! Il ne demandait même pas de
jouets mais du « plus beau cadeau de Noël, être avec sa maman..., avec un sapin..., avec des boules, le
sapin, parce que sans çà c'est pas Noël »! Quelle injustice ! Quel mépris pour les enfants, j'en pleure ! Pour
de bon !

Si Personne ne bouge après cette aide faite au père violeur par le procureur de la République et le juge de
Draguignan ce 5 janvier 2011, on peut craindre que la maman ne puisse plus voir ses enfants avant le mois de
mars, puisque le père a prévenu :il n'est pas question qu'elle voit ses enfants. Les gendarmes sollicités par la
Maman pour faire exécuter le jugement du Juge des enfants, lui ont d'abord réclamé un jugement avec un
tampon original d'exécution. Quinze jours plus tard, après une nième non présentation et munie du Jugement
avec le tampon d'obligation d'assistance, en original, les GENDARMES DE SAINT TROPEZ ONT
REFUSE de faire exécuter le Jugement !

QUE FAIRE ?
Après le refus d'assistance des gendarmes pour faire exécuter un jugement,
Après les reports successifs du jugement en correctionnelle et le dernier de ce jour mercredi 5 janvier 2011
- Malgré le rapport d'expertise d'un célèbre pédopsychiatre de Marseille qui n'a pas vu d'autre
hypothèse que le viol
- malgré les récits détaillés des viols racontés avec force détails inimaginables pour des enfants en très
bas âge comme « les épines dans les fesses, ça fait très mal mais ça ne saigne pas » et l'explication
qu'ils apportent « c'est comme ça qu'ils appellent leurs zizis » (les pines)
- Malgré les dessins racontant les soirées où ils sont violés avec plein de messieurs et madames tout
nus, des sexes en érection et « du pipi » qui va dans la bouche de la madame »
- Malgré les preuves audio visuelles de la reconnaissance du père comme étant violeur (et pire) chez
un médecin au courant d'autres crimes
- Malgré les photos d'anus dilatés et l'analyse IRM des voies basses qui est zappée,
- Malgré d'autres violences du père sans réponse du parquet alors qu'elles valent 15 ans de prison,
- Malgré cent autres preuves, des mensonges et calomnies PROUVEES des gendarmes aux forfaitures
prouvées, après les gardes à vue ignobles, dégradantes et INUTILES, des grands-parents et de la
maman pour le simple plaisir des gendarmes !
- Malgré l'audition filmée des enfants par la brigade des mineurs de Toulon
- Malgré Nicolas Sarkozy prévenu, Rachida Dati prévenue puis MAM lui succédant, malgré TOUS les
députés et sénateurs de France prévenus, RIEN NE SE PASSE !

RIEN, NON ! Les enfants et leur maman PARFAITE
sont destinés à être sacrifiés ? Pour la jouissance de quels pervers ?
Que faites-vous de la JUSTICE et de ces ENFANTS de France,
Monsieur le premier Magistrat de France, Monsieur Nicolas Sarkozy ?

 

 

 

 

AFFAIRE   AMIDLISA  -  Département du Var

Pédocriminalité

LE COLLECTIFAUTRE MONDE

à

Madame Danièle Drouy Ayral

 

Procureur de la République 83300  Draguignan

 

 

LR/AR En responsabilité du 31 janvier 2011

 

Objet :   Enfants de votre département en grand danger.

 

 

Madame le Procureur,

 

Vous receviez  en date du 10 Janvier 2011 d’une  Association étant une infime composante de notre Collectif, une LR/AR  pour le moins subjective au sujet de cette très sensible affaire varoise concernant  le dossier : ‘Amidlisa Pédocrimminalité  Var’

 

Madame, notre Collectif, averti une nouvelle fois par un membre de  L’ O.C.C.U.L.T.E. se doit de vous alerter en urgence que  ces jeunes enfants, comme le prouve le commentaire ci-joint*, sont soumis à un formatage et conditionnement d’une dangerosité extrême et irréversible quant à leur devenir psychique et  psychiatrique.

 

 

Madame le Procureur, de par vos fonctions nous vous demandons d’intervenir expressément afin  d’assurer la sécurité physique et mentale de ces petits enfants et de les écarter de leur géniteur afin qu’ils retrouvent sérénité et affection près de ceux qu’ils aiment et qui les aiment.

 

 

Excluant évidemment de vos services tout placement près des structures (bien peu recommandables) de l’Enfance  varoise mises en cause par les témoignages gravissimes de ces enfants. Les investigations du Collectif Autre Monde au sujet de ces structures mais aussi concernant la totalité de cette affaire et l’usage qu’il en fera, étant  bien plus avancées et révélatrices que ce que certains pourraient croire:

 

 

Nous pensons qu’il serait plus que temps, Madame le Procureur, de mettre un terme définitif à cette pantalonnade de soutien au géniteur et forfaitures afférentes à ce dossier dans lequel certains services représentatifs de l’Etat et du département du Var se ridiculisent et s’embourbent inexorablement jour après jour et de mal en pis.

 

Avec nos respectueuses salutations.

 

 

Signé: LE COLLECTIF AUTRE MONDE

 

commentaire ci-joint* (Extrait de ‘Interrogations & Constatations’ du dossier : ‘Amidlisa’ du Collectif Autre Monde)

 

8°) Les enfants M ——   de Cogolin ont été soumis, de part leur père, au moins à quatre ou cinq reprises à la projection du film de Guillermo del Toro: - Le Labyrinthe de Pan -

Au Collectif, nous ne pensons pas que ces projections répétées et inadmissibles, de part l’impact horrifiant des images contenues, sur des enfants de deux ans et demi, quatre et six ans, soient gratuites, dénuées d’intérêts et de but.

Il est indéniable que l’affiche même de ce film, reproduite également sur le DVD visionné, représente le portrait du Dieu Pan, faune à visage de bouc / Bouc de Mendes / Baphomet, qui est a lui seul  un symbole très puissant des cultes Maçons Illuminati.

D’autre part différentes scènes et images de ce film se rapportent en tous points à des symboliques fortes et bien connues en occultisme maçonnique et autres pratiques sataniques :

L’oeil d’Horus dans la main du faune / Le sol à damier La lune est pleine dans le ciel et nous pouvons ouvrir le portail / Le faune demande à la fillette : ‘Le sacrifice du bébé pour être sauvée’

Dans ce contexte au Collectif Autre Monde et bien que  nous ne prétendions en aucune compétence analytique en pédopsychiatrie, il nous est fort surprenant de constater que la petite Margaux, six ans, dans ses dessins représente étrangement ses parents par des formes pyramidales ! La pyramide étant, pour ceux qui encore en douteraient, le principal symbole des maçonniques Illuminati.

«  montagne sommet en haut = papa »   «  montagne sommet en bas = maman »

Et chose hallucinante pour son âge, matérialisant même sur ses dessins les différents degrés maçonniques !!!

D’où nos certitudes que ces trois enfants M – - – - – - ,  maintes fois violés, ballotés dans des orgies ou se seraient trouvés, entre autres et actifs, des employés de l ’ADSEA du Var en charge de ces enfants ;  témoins obligés de nombreux crimes sataniques sur d’autres enfants (dont un découpé vivant et égorgé devant eux…témoignage vidéo des enfants en notre possession), obligés de participer et poignarder eux même un enfants sacrifié  (dessins et déclarations des enfants en notre possession) sont soumis sciemment et intensément aux  méthodes de programmations, codes de manipulations, formatages et conditionnements psychiques si chers aux francs-maçons sataniques Illuminati . Méthodes dénoncées entre autre par Svali programmeuse défecteur des Illuminati USA en 96 et comme ont été victimes dans leurs enfances Régina Louf,  X2,  X3,  X4  pour l’affaire Dutroux / Nihoul en Belgique ou encore Véronique Liaigre à Angers et le petit Vincent Tanyères à Perpignan, etc …etc.

 

Au travers de ces constatations nous comprenons mieux les scandaleuses protections et connivences dont a pu  bénéficier jusqu’à présent le géniteur de ces enfants varois.

 

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